- Analyse des coûts de fusion UPEC/UPEM, et quelques exemples à l'étranger :
- détournement de ressources vers la fusion.
- burn-out (cf ci-dessous).
- système d'information.
- Rapport de la chambre régionale des comptes d'Alsace illustrant le coût humain de la fusion à l'Université de Strasbourg:
- "Le dispositif de préparation s’est révélé insuffisant pour permettre une réflexion de fond sur le centre de gravité de l’université que constituent l’enseignement et la recherche : le modèle du collégium, qui constitue l’une des originalités du projet, n’a ainsi pas pu être approfondi et aucune réforme de l’organigramme pédagogique (38 UFR avec un risque de pérennisation de l’existant) n’a pu être envisagée." (p.6)
- "Sur le plan administratif, le temps - la méthode aussi parfois, semble-t-il - a manqué pour confronter bonnes et mauvaises pratiques comme pour analyser les marges de manœuvre disponibles. Ces insuffisances dans la préparation ont pu donner l’impression d’une action précipitée et dans l’urgence, ont requis des personnels des efforts exceptionnels voire généré une véritable « souffrance » et pu conduire à donner le sentiment que l’université représentait « une grosse machine prête à tout niveler » où les préoccupations bureaucratiques (des statuts, un organigramme) prenaient le pas sur les missions premières de l’établissement, et où les pratiques de l’ULP s’imposaient à l’ensemble des personnels." (p.6)
- le projet I-Site Paris Est FUTURE n’est finalement pas retenu. la direction actuelle de l'UPEC annonçait que la fusion était une des conditions pour obtenir 300 millions d'euros du PIA2.
- Le salaire des présidents de groupements d'universités, article du Monde
- 35M€ pour une bibliothèque vide (cf article du Parisien). Qui prendra en charges les frais de fonctionnement après la fusion ?